Zoom projet
Une carte dans un format traditionnel
Pour rendre le côté « traditionnel », je voulais produire une carte qui ne soit « ni parfaite ni scientifique » (dans le sens géographique), mais plutôt esthétique et artistique. Cependant, toutes les échelles sont respectées et l’ensemble est fiable géographiquement.

Méthodologie peu orthodoxe
Reproduite à partir de plusieurs atlas de référence, puis numérisée et travaillée sur Photoshop, cette carte a demandé plusieurs semaine de travail.
Les méridiens ont été tracés avec le plus de précision possible pour permettre un rendu le plus proche possible de la réalité géographique.
La couleur de la carte « brute » ci-contre est composée de gouache.


Le dessin pour capter l’attention
J’ai choisi une gamme de couleurs assez resserrée et plutôt éloignée des codes de représentation habituels. Objectif : pour proposer une image moins académique mais qui garde le côté esthétique des atlas.
Le relief est volontairement atténué dans la version finale pour permette une lecture plus facile des textes.
Pourquoi le dessin à la main ?
– Pour jouer sur la proximité et faire d’une carte classique un objet esthétique.
– Pour attiser la curiosité et donner envie de chercher les détails.
– Pour le rendu « imparfait » de l’ensemble : confirmer la dimension humaine et l’approche non pas scientifique mais passionnée du sujet.

Le dessin numérique pour compléter
En utilisant Photoshop je peux :